C'est le moment de préparer son jardin à l'arrivée du printemps

• Entretenez vos massifs : Là, c’est l’heure du bêchage ! C’est cette opération qui va permettre d’aérer le sol, d’améliorer le drainage, d’enfouir les mauvaises herbes à l’abri de la lumière et d’empêcher ainsi leur croissance. Une base parfaite pour planter de nouveaux végétaux.<br><br>

• Nourrissez la terre : Après avoir griffé vos arbustes et vos massifs, nourrissez votre terre avec de l’engrais organique ou du compost.<br><br> Lequel choisir ? L’avantage du compost est qu’il n’empoisonne pas les sols et les nappes phréatiques, et qu’en prenant soin de votre composteur, vous pouvez en disposer toute l’année. Quant à l’engrais organique, c’est une solution plus naturelle que les engrais minéraux (qui restent des engrais chimiques à utiliser raisonnablement) : il s’agit de résidus de déchets naturels, végétaux ou animaux (purin d’ortie, vinasse de betterave…)<br>

Et le fumier ? Il ne s’utilise qu’en hiver.<br><br>

Les engrais verts, vous connaissez ? Ce sont des plantes dont les racines stimulent la vie microbienne de votre sol et donc améliorent ses richesses : la graminée, la moutarde ou encore la féverole. Elles améliorent ainsi les échanges d'eau et d'air du sol.

Dans votre verger, plantez les petits arbustes fruitiers : framboisiers, groseilliers, cassissiers…<br> Au potager, semez des légumes qui résistent à des températures pouvant aller jusqu’à 0°C (car quelques giboulées nous guettent encore…) <br>Par exemple : oignons rouges et blancs, échalotes, ail rose…

Semis ou rénovation de gazon, c’est par ici que ça se passe ! On scarifie, c’est-à dire qu’on enlève toute la couche superficielle de la pelouse pour lui permettre de mieux respirer et d’emmagasiner plus facilement l’eau. À ça, on ajoute un traitement antimousse.